Société 12 février 2015 Billet d’humeur : La Saint-Valentin, ça vaut plus rien? Une fois n’est pas coutume : ce billet d’humeur sera un billet de bonne humeur! Eh oui, on y est : c’est la fête des amoureux! Que vous fêtiez la Saint-Valentin ou la Sans Valentin, découvrez-en un peu plus sur cette journée.
12 février Immigration Harriet Tubman, la Moïse noire Février est le mois de l’Histoire des Noirs au Canada. C’est l’occasion de mettre en avant le parcours...
Une première partie de Colter Wall bien appréciée Scott Richmond en toute intimité à Regina C’est le vendredi 6 que Scott Richmond remontait sur la scène réginoise au Artful Dodger Café. La première...
Petites joies hivernales à Prince Albert Prince Albert et sa région proposent beaucoup de possibilités d’activités durant l’hiver : Little Red River offre...
Un samedi placé sous le signe du Carnaval d’hiver à Saskatoon Destination incontournable chaque année au mois de février, le Carnaval de la Fédération des Francophones de Saskatoon...
Carnaval Mardi Gras fransaskois à Gravelbourg GRAVELBOURG - La communauté de Gravelbourg a festoyé grandement pendant la fin de semaine des 6, 7 et 8 février dans le cadre...
16 décembre 2019 Jean-Philippe Deneault 31910 2019, Saskatoon, Arts et culture Concert éblouissant de Rayannah à Saskatoon SASKATOON - Retour sur l’avant-dernier spectacle de la tournée canadienne et allemande du tout dernier album Nos repaires lancé en mars 2019 par la Franco-Manitobaine Rayannah, de passage à Saskatoon. Rayannah a offert un concert intimiste le 6 décembre au centre de production en nouveaux médias Paved Arts, en plein cœur du quartier Chinatown de Saskatoon. Ce moment musical magique d’une qualité et d’une finesse d’exécution exceptionnelle rappelle la force des collaborations artistiques transdisciplinaires. Dès le début du spectacle, les projections vidéo recherchées de SKUSE (Stéphanie Kuse) ont métamorphosé la scène en un espace complètement immersif. Notons aussi les quatre bandes fluorescentes des deux côtés de la scène, derrière les deux stations de synthétiseurs et claviers se faisant face, et jouant sur les codes esthétiques scéniques des années 1980. En première partie, Respectful Child (Melissa Gan) a donné une leçon de maître dans l’utilisation des pédales loops, jouant au violon en mode pizzicato ou avec l’archet, chantant et insufflant de simples respirations, créant ainsi des paysages sonores planants. Respectful Child s’est ensuite jointe à Rayannah et à la musicienne ottavienne Yolande Laroche pour un trio improvisé de haut vol. Sans interruption, Rayannah a poursuivi un tour de chant mettant en valeur sa voix envoûtante sur fond d’arrangements électro-pop inventifs et complexes. La qualité des paroles, tant en français qu’en anglais, rappelle le succès d’artistes d’envergure comme Bjork ou Ariane Moffat. Balises Rayannah Partager Imprimer