20 novembre Petite enfance Des activités ludiques... en français! Parents et petits à Prince Albert Si vous vous promenez du côté de la bibliothèque John M. Cuelenaere à Prince Albert, le samedi matin vers 10 h, vous...
« Bouffe » Une comédie qui rassasie SASKATOON - Passionnés de cuisine, les chefs Bazil et Mortadel nous ont bien fait rire, et réfléchir, avec leur jeu...
Quelques anecdotes sur la guerre de 14-18 « C'est une victoire, parce que j'en suis sorti vivant » Roland Dorgelès (1885-1973), Les Croix de bois (1919) Tous connaissent la Première Guerre mondiale. À chaque année, on fait honneur aux millions de soldats de toutes origines qui ont sacrifié leur vie...
Retour sur l'entrée en guerre du Canada Enrôlez-vous, qu'ils disaient! Le dominion du Canada et la colonie de Terre-Neuve entrent en guerre le 4 août 1914, par obligation pour la métropole britannique. Ils...
Consultation avec Radio-Canada : La communauté a besoin de son diffuseur public, et vice-versa En marge du Rendez-Vous fransaskois, une consultation avec Radio-Canada a été organisée afin d’exposer les orientations...
17 février 2020 AJEFS 29199 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer