29 octobre Cinéma Rencontre avec Gilles Landry, gagnant du prix du court métrage au festival... Le vélo de Frank Gilles Landry est vidéaste amateur et féru de vélo. Il a obtenu le prix Best Small Scale Production au 11e festival...
Jamie Gignac de Vonda au Campus St-Jean « Ne pas perdre ma langue! » Il y a deux ans, la Fransaskoise Jamie Gignac, alors élève de 12e année à l’école Providence de Vonda,...
CBC: l'ex animateur de radio Jian Ghomeshi poursuit la société d'État pour 50 M$ TORONTO _ L'ex-animateur de l'émission "Q" de CBC, Jian Ghomeshi, affirme que le radiodiffuseur l'a congédié parce qu'il...
Une collaboration de l'Eau vive et de ICI Radio-Canada Saskatchewan Séance de clavardage avec Françoise Sigur-Cloutier Le jeudi 23 octobre Radio-Canada Saskatchewan a diffusé une entrevue de la présidente de l'Assemblée communautaire, madame...
Entrevue réalisée par Radio-Canada Saskatchewan en collaboration avec l'Eau vive Entrevue avec la présidente de l’Assemblée communautaire fransaskoise Entrevue préparée conjointement par l’Eau vive et la Société Radio-Canada avec Françoise Sigur-Cloutier,...
18 juin 2019 FAJEF 19822 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer