15 octobre Santé Crise en Ukraine Une situation sanitaire inquiétante L’Ukraine est le pays le plus touché par le VIH et le sida en Europe et a la plus forte prévalence1 du VIH dans...
Une mine de ressources à une distance de clic Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial Créé en 1986, le Lien est un centre de ressources culturelles et pédagogiques en français. Il dessert les francophones...
Nouvelle saison pour le cercle des écrivains Le mardi 4 octobre 2014, le Cercle des écrivains a débuté sa nouvelle saison de rencontres mensuelles.
"The Fransaskois" n’est plus un homme invisible Il y a de ces détails qui, sous des airs anodins, revêtent une certaine importance. Dans un article du Star Phoenix on apprenait...
Brian Gallant élu Premier ministre Le changement au Nouveau-Brunswick: Un vent libéral, rural et acadien Cinquième province à élire récemment un gouvernement libéral, le Nouveau-Brunswick s’est...
18 juin 2019 FAJEF 19822 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer