Mon métier, ma passion 9 octobre 2014 Nicole Dupuis, enseignante en école d’immersion à Estevan Ceux qui choisissent le métier d’enseignant doivent être prêts à aimer leurs élèves, être capables de collaborer avec leurs collègues et prêts à appuyer les parents.
9 octobre Éducation Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF Lors de l’assemblée annuelle tenue à Halifax, le 27 septembre dernier, les membres de l’Association canadienne...
Levée de drapeau Fransaskois à Prince Albert PRINCE ALBERT - Les Fransaskois et les Fransaskoises, des plus jeunes aux aînés ont fait acte de présence (près de 70...
Des « Mots d’ados » à Ponteix pour les 5 à 85 ans PONTEIX - Le décor planté, les comédiens en place, les textes écrits par quatre jeunes Fransaskois prenaient vie dans...
La journée internationale des aînés soulignée à Ponteix PONTEIX - Les générations se sont rencontrées pour partager, le temps d’un goûter et de quelques rires, une...
40 ans de culture Édition 40e anniversaire de l'assemblée annuelle du Conseil culturel fransaksois REGINA - Le 4 octobre dernier, le Conseil culturel fransaskois (CCF) a vécu une journée bien remplie. En après midi, une...
18 juin 2019 FAJEF 19822 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer