2 octobre Littérature Journées de la culture: La lecture mise à l’honneur à Saskatoon À l’initiative de la Saskatoon Literacy Coalition, plusieurs organismes de promotion de l’alphabétisation et de la...
Arts et culture 40 ans de culture fransaskoise célébrés à Regina lors de la journée nationale de la culture au Canada
Une soirée dansante africaine au bénéfice de la CAFS Le temps, avec son cortège d’angoisses, est mis entre parenthèse. C’est ce qui fait le charme des soirées...
Similitudes et différences des structures chez les Métis et les Fransaskois Rencontre Inter-intra: Favoriser la participation citoyenne Lors de la rencontre Inter-intra des 24 et 25 septembre, les directions des organismes fransaskois se sont penchées sur la participation...
La communauté et le gouvernement provincial soulignent 100 ans d'histoire Entre Culture et Histoire: une journée de célébrations à Ponteix En septembre 2012, Ponteix célébrait sa première Fête de la culture. C’était, aussi, l’Année...
L'institution fransaskoise s’affirme comme l’un des acteurs majeurs du... Programmation du Collège Mathieu 2014-15 Petit à petit, à force de travail et au fil du temps, le Collège Mathieu, sous la direction générale de Francis...
18 juin 2019 FAJEF 19817 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer