Gravelbourg 25 septembre 2014 De la belle visite à Gravelbourg Une quarantaine de personnes dont plusieurs enfants de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) sont venues passer la journée de samedi 20 septembre 2014 à Gravelbourg.
24 septembre Ponteix La CAFS part à la rencontre des communautés rurales La Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) a organisé une activité de découverte des...
Yvette (Chabot) Monette 1921-2014 Madame Yvette Monette (née Chabot) rend l’âme le 7 septembre 2014 au Foyer d’Youville de Gravelbourg (SK) à...
Ça chauffe en Ukraine : vers une nouvelle guerre froide? Ces dernières semaines, l’implication russe en Ukraine a changé de nature et d’ampleur. Moscou ne se contente plus...
La vie du bon côté Lancement de la saison 2014-15 de la Troupe du jour Avec la nouvelle saison théâtrale 2014-2015 que vient d’annoncer la Troupe du Jour (LTDJ), on va s’amuser!
Témoignage d'un ex-directeur de la Commission culturelle fransaskoise (1981-83) Mai 1981. La Commission culturelle fransaskoise vient de m’engager comme « directeur général ». À mon...
18 juin 2019 FAJEF 19808 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer