28 septembre Postsecondaire Gouverne ontarienne, mission canadienne L’université francophone ontarienne pour 2025? Le Sommet provincial des États généraux sur le postsecondaire en Ontario français, du 3 au 5 octobre à Toronto,...
Résultats de la période de mises en candidature pour les élections générales de l’ACF La présidence élue, avis de scrutin à Regina et à Saskatoon et Zenon Park, sept renouvellements de mandat. La...
Assemblée annuelle de l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg On n’est pas fort, mais on est plus fort que l’année dernière Une vingtaine de personnes de Gravelbourg et des environs se sont rendues au Centre culturel Maillard (CCM), le dimanche 21 septembre, pour...
4 sur 100 à Gravelbourg L’Assemblée générale annuelle de l’Association communautaire francophone de Gravelbourg (ACFG) a permis de réunir au même endroit 4...
L’Écosse dit non à l’indépendance : le choix de la peur ou de la raison? On en parlait peu, mais de nombreux Canadiens regardaient du coin de l’œil ce qui se passait en Écosse.
18 juin 2019 FAJEF 19808 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer