2 octobre Exposition Rencontre avec l'artiste à la MacKenzie Art Gallery de Regina Wilf Perreault : De la ruelle au musée Samedi le 27 septembre dernier de 14 h à 16 h avait lieu une discussion avec l’artiste peintre fransaskois Wilf Perreault à la...
1 C’est ça qu’on aime!/We love it all! Murale thématique de Jean-Marie Michaud à Saskatoon Enfants, soleil, invités et gâteries saines, tout était au rendez-vous vendredi après-midi au parc Saint Andrews...
Un concert dans votre maison Invitez Chemin chez nous chez vous! Chemin Chez Nous est un organisme national bilingue sans but lucratif qui organise des tournées de concerts maison et permet, le temps...
Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) lancent une campagne...
Chant’Ouest enchante l’Ouest Le gala Chant'Ouest est né d'une vision, d'un rêve... Parce que deux hommes, Ronald Tremblay et Yves Caron, ont cru au talent des...
18 juin 2019 FAJEF 19808 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer