Écoles fransaskoises 3 octobre 2014 Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest
3 octobre Arts et culture Le Réseau de diffusion de spectacles de la Saskatchewan se réinvente Le Réseau de diffusion de spectacles de la Saskatchewan (RDSSK), prévoit une restructuration à venir dans la façon de...
La Russie: au-delà de l'actualité D'aussi loin que je me souvienne, je rêvais d'aller en Russie, d'arpenter les rues et ruelles de Saint-Pétersbourg hantées par les...
Madeleine Marchildon reçoit sa famille à Zenon Park 90 ans ça se fête! Heureusement qu’on n’a pas tous les jours 90 ans se dit Madeleine Marchildon de Zenon Park. Bien que la date officielle soit le 29...
Maggy Bougie, nouvelle coordonnatrice en communications / marketing du Conseil de la Coopération de la Saskatchewan Lundi 29 septembre 2014 le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a annoncé la nomination de madame Maggy Bougie...
Rencontre de la Table des élu.e.s: Communauté et éducation La Table des élu.e.s a tenu sa 23e rencontre à la nouvelle salle de la paroisse St-Martyrs-Canadiens à Saskatoon.
18 juin 2019 FAJEF 19817 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer