Postsecondaire 9 octobre 2014 Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants
8 octobre Arts et culture Parti pour la gloire II Soirée glorieuse pour les 40 ans du CCF Le 4 octobre dernier s’est déroulée la soirée Gala anniversaire du Conseil culturel fransaskois (CCF), soulignant les...
Où est le Conseil culturel fransaskois après 40 ans? Et maintenant? « Il ne faut pas faire les choses comme avant, il faut penser à comment les choses vont être dans 20 ans ». Je...
Langues officielles: Graham Fraser s'inquiète de la situation chez Air Canada Le commissaire aux langues officielles du Canada brosse un portrait positif de l'état du bilinguisme au pays, mais s'inquiète de...
Rapport du Commissaire aux langues officielles : Bilan décevant selon l'ACF La présidente de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), madame Françoise Sigur-Cloutier a réagi...
Un déraillement de train force l'évacuation de Clair en Saskatchewan WADENA, Sask. _ Un train de marchandises du Canadien National transportant des produits dangereux a déraillé dans le centre de la...
18 juin 2019 FAJEF 19822 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer