23 septembre Musique Critique du dernier disque de Pascal Lejeune Thomé Young: la nature est toujours là, Victoria Cette nouvelle excursion de Pascal Lejeune, sous le pseudonyme Thomé Young, s'ouvre sous des airs de familiarité. Après tout,...
Au revoir Tante Aimée Pendant plusieurs années, l’Eau vive a publié ta chronique chère Tante Aimée . Dans ce...
Funérailles de Réjeanne Geoffrion-Flichel Réjeanne est décédeé subitement le jeudi 18 septembre 2014, à peine19 jours après le départ de...
Devant le CRTC, la FCFA plaide pour l'avenir de la programmation locale Le 18 septembre 2014, la Fédération des communautés francophones et acadiennes du Canada (FCFA) a exprimé au...
Unis de TV5 est maintenant en ondes La lutte pour se voir à la télé continue Au lendemain du lancement d’Unis, le 1er septembre, des voix s’élèvent pour célébrer la nouvelle...
18 juin 2019 FAJEF 19800 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer