Politique 11 septembre 2014 Françoise Sigur-Cloutier, présidente de l’Assemblée communautaire fransaskoise nous parle des élections du 5 novembre Qui les Fransaskois(e)s vont élire et combien de poste sont à pourvoir?
11 septembre Zenon Park Découvrez la programmation 2014-2015 des associations régionales! Il y a deux semaines nous vous parlions de la rentrée des organismes provinciaux, c’est maintenant le temps de voir ce que nous...
Rencontre avec Dolorèse Nolette L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des...
Une nouvelle année pour le CÉF : Attendre de voir Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé...
Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF? On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire...
Une rentrée comme les autres C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette...
18 juin 2019 FAJEF 19800 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer