18 septembre Écoles d'immersion Entrevue avec Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles... Immersion dans l’immersion C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF),...
Le fédéral élimine un programme qui visait à faciliter l'immigration francophone «C’est une très grande déception d’apprendre la décision du gouvernement fédéral de mettre...
Alliance du théâtre et de la danse Une « carte blanche » éblouissante sur les planches de la TDJ! Quelle brillante idée d’avoir invité le metteur en scène Éric Perron comme artiste en résidence pour le...
Une soirée mouvementée à l’Assemblée Générale Annuelle de l’Assocation canadienne-française de Regina Le 4 septembre 2014 à 19 h s’est tenue la 50e Assemblée générale annuelle (AGA) de l’Association...
Entrevue avec Siriki Diagabaté, président de l’Association canadienne-française de Regina (ACFR) Face aux démissions des membres du conseil d’administration (CA), qui ont eu lieu au cours de l’assemblée...
18 juin 2019 FAJEF 19800 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer