Écoles fransaskoises 18 septembre 2014 Rencontre avec Miles Muri, directeur des écoles Sans-Frontière et Père Mercure M. Miles Muri travaille pour le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été directeur de l’École secondaire Collège Mathieu à Gravelbourg puis directeur du Centre d’éducation virtuelle et d’innovation (CÉVI) pendant un an avant de devenir directeur des écoles Père Mercure et...
18 septembre Saskatoon Rendez-vous au Rendez-vous AGA de la Fédération des francophones de Saskatoon Le Rendez-vous, le bâtiment de la Fédération des francophones de Saskatoon, a été une fois de plus au cœur...
Un accueil chaleureux pour Scott Richmond L’auteur-compositeur-interprète Scott Richmond était de retour dans sa province natale pour en mettre plein les...
Des collages réussis pour Indigo Joseph Le lancement du premier album d’Indigo Joseph, Collage, s’est déroulé sans accroc le vendredi 12 septembre au Regina...
Il y avait foule au Bistro de l'ACFR Premier 5 à 7 de la saison et lancement de la programmation de l’ACFR Le vendredi 12 septembre dernier, l’Association canadienne-française de Regina (ACFR) a entamé sa saison avec un 5 à 7...
Le CSF et le jugement de la Cour du banc de la reine Pour une solution à long terme Le 19 août dernier, le juge Brian A. Barrington-Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan de...
18 juin 2019 FAJEF 19800 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer