Faits divers 13 octobre 2014 Le déraillement de Clair implique le même type de wagons qu'à Mégantic WADENA, Sask. _ Le Canadien National affirme que les wagons-citernes ayant déraillé et pris feu cette semaine près d'une petite localité de la Saskatchewan sont du même type que ceux impliqués dans la catastrophe ferroviaire de Lac-Mégantic, l'an dernier
13 octobre Faits divers Explosion d'une station de pompage de gaz à Prud'homme PRUDHOMME, Sask. _ Une explosion et un incendie dans une station de pompage de gaz en Saskatchewan ont entraîné des...
Nicole Lemire: De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert Chaque année, des milliers d’étudiants en 12e année sont confrontés à la même question :...
« Ils ne savent pas ce qui se passe (chez nous) » Une auteure acadienne dénonce le nombrilisme québécois dans les médias Marjorie Pedneault dénonce le peu de place accordé aux francophones hors Québec dans les émissions dites nationales....
Patrimoine canadien est engagé suite à une recommandation du commissaire aux... Fêtes nationales bilingues pour le 150e? Le commissaire aux langues officielles a recommandé au ministère de produire des rapports d’étape sur la mise en...
Publicités politiques: les conservateurs veulent modifier la Loi sur le droit d'auteur Les conservateurs veulent modifier le Loi sur le droit d'auteur afin de permettre aux partis politiques d'utiliser du contenu journalistique dans...
10 septembre 2015 Sébastien Németh 21231 2015, Éditorial, Bénévolat Plus le temps Réflexion sur le bénévolat Nous n’avons plus le temps de rien. Plus le temps de mobiliser son énergie pour organiser notre évènement communautaire. Plus le temps de passer des heures en réunion pour faire germer les contours du projet. Plus le temps de rester devant l’ordinateur, à se gratter le cuir chevelu pour écrire la demande de subvention. Plus le temps de remplir les fichiers informatiques, calculette à la main, pour évaluer son budget. Plus le temps pour surveiller fébrilement le compte en banque et vérifier l’arrivée de l’argent. Si un évènement a lieu, nous n’avons plus le temps de battre le rappel pour que les autres viennent aider à préparer la salle. Plus le temps d’installer les tables, les chaises. Plus le temps d’aller au supermarché acheter la bouffe pour 250 personnes affamées. Plus le temps de s’installer en cuisine pour émincer, découper, éplucher, trancher, saupoudrer…bref…pour préparer quelque chose et nourrir les visiteurs. Plus le temps d’enfiler un tablier et d’empoigner une louche pour servir les spectateurs. Plus le temps de passer la soirée, l’oreille collée au combiné téléphonique pour réclamer des dons. Plus le temps d’enfiler un T-shirt fluo pour renseigner et guider les gens (avec le sourire). Plus le temps de rester jusqu’à 2 h du matin pour ranger, nettoyer, éponger et laver la salle. Plus le temps de s’engager dans un conseil d’administration. Plus le temps d’examiner des finances abstraites qui diminuent comme peau de chagrin. Plus le temps d’orienter des décisions stratégiques. Plus le temps de concilier bénévolat, travail, loisir et vie de famille. Et si le bénévolat, le soutien à son groupe, c’était tout ça à la fois? Et si la communauté c’était le travail et le loisir? Et si la communauté c’était une famille? La communauté c’est nous. Nous sommes la communauté. Lui consacrer du temps, c’est se donner du temps à soi. Partager Imprimer