Mon métier, ma passion 9 octobre 2014 Nicole Dupuis, enseignante en école d’immersion à Estevan Ceux qui choisissent le métier d’enseignant doivent être prêts à aimer leurs élèves, être capables de collaborer avec leurs collègues et prêts à appuyer les parents.
9 octobre Éducation Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF Lors de l’assemblée annuelle tenue à Halifax, le 27 septembre dernier, les membres de l’Association canadienne...
Levée de drapeau Fransaskois à Prince Albert PRINCE ALBERT - Les Fransaskois et les Fransaskoises, des plus jeunes aux aînés ont fait acte de présence (près de 70...
Des « Mots d’ados » à Ponteix pour les 5 à 85 ans PONTEIX - Le décor planté, les comédiens en place, les textes écrits par quatre jeunes Fransaskois prenaient vie dans...
La journée internationale des aînés soulignée à Ponteix PONTEIX - Les générations se sont rencontrées pour partager, le temps d’un goûter et de quelques rires, une...
40 ans de culture Édition 40e anniversaire de l'assemblée annuelle du Conseil culturel fransaksois REGINA - Le 4 octobre dernier, le Conseil culturel fransaskois (CCF) a vécu une journée bien remplie. En après midi, une...
10 septembre 2015 Sébastien Németh 21229 2015, Éditorial, Bénévolat Plus le temps Réflexion sur le bénévolat Nous n’avons plus le temps de rien. Plus le temps de mobiliser son énergie pour organiser notre évènement communautaire. Plus le temps de passer des heures en réunion pour faire germer les contours du projet. Plus le temps de rester devant l’ordinateur, à se gratter le cuir chevelu pour écrire la demande de subvention. Plus le temps de remplir les fichiers informatiques, calculette à la main, pour évaluer son budget. Plus le temps pour surveiller fébrilement le compte en banque et vérifier l’arrivée de l’argent. Si un évènement a lieu, nous n’avons plus le temps de battre le rappel pour que les autres viennent aider à préparer la salle. Plus le temps d’installer les tables, les chaises. Plus le temps d’aller au supermarché acheter la bouffe pour 250 personnes affamées. Plus le temps de s’installer en cuisine pour émincer, découper, éplucher, trancher, saupoudrer…bref…pour préparer quelque chose et nourrir les visiteurs. Plus le temps d’enfiler un tablier et d’empoigner une louche pour servir les spectateurs. Plus le temps de passer la soirée, l’oreille collée au combiné téléphonique pour réclamer des dons. Plus le temps d’enfiler un T-shirt fluo pour renseigner et guider les gens (avec le sourire). Plus le temps de rester jusqu’à 2 h du matin pour ranger, nettoyer, éponger et laver la salle. Plus le temps de s’engager dans un conseil d’administration. Plus le temps d’examiner des finances abstraites qui diminuent comme peau de chagrin. Plus le temps d’orienter des décisions stratégiques. Plus le temps de concilier bénévolat, travail, loisir et vie de famille. Et si le bénévolat, le soutien à son groupe, c’était tout ça à la fois? Et si la communauté c’était le travail et le loisir? Et si la communauté c’était une famille? La communauté c’est nous. Nous sommes la communauté. Lui consacrer du temps, c’est se donner du temps à soi. Partager Imprimer