Courrier du lecteur 3 juillet 2014 Disparition des groupes artistiques fransaskois En réaction à la lettre de Laurier Gareau Pour faire du pouce sur la lettre de M. Laurier Gareau paru récemment dans l’Eau vive concernant les groupes artistiques qui faisaient vibrer la culture fransaskoise à l’époque, j’ajouterais, entre autres, le groupe musical Polly-Esther; le duo humoristique Les Enfouârés qui ont su animer plusieurs Galas, Fêtes Fransaskoises et...
3 juillet Écoles fransaskoises Et c’est reparti C’est, hélas, grâce aux visites périodiques dans les couloirs des tribunaux que la francophonie canadienne...
Soulignons la réussite! Jeudi le 26 juin, plusieurs élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de l’école Monseigneur de Laval ont...
Remise des diplômes aux finissants du Collège Mathieu pour l’année 2013-2014 Les petits plats avaient été mis dans les grands, samedi 28 juin à 14 h au Carrefour horizons, pour célébrer...
Et si demain c’était vous? Journée mondiale des réfugiés La foule a bravé la pluie le 20 juin, pour la marche organisée à Saskatoon dans le cadre de la Journée mondiale des...
Une fête bien réussie Vendredi dernier, l’Association canadienne-française de Regina (ACFR) célébrait une fête bien connue d’une...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22247 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer