Écoles fransaskoises 26 juin 2014 Si on se donne des règles, c’est pour les suivre Je doute que les premiers feux de signalisation ou panneaux d’arrêt aient été installés dans les villes l’année même où les voitures ont fait leur apparition dans nos rues. Il aura fallu sans doute quelques collisions avant de prendre conscience de la nécessité d’offrir un certain encadrement à la...
26 juin Gravelbourg Fêtes du Solstice et de la St-Jean-Baptiste à Gravelbourg L’arrivée de l’été a été fêtée en grand à Gravelbourg la fin de semaine du 20...
L’été de Shawn Jobin et de Mario Lepage s’annonce occupé Shawn Jobin et Mario Lepage ont pris la route le 11 juin pour Ottawa, leur premier arrêt dans une série de spectacles. Le 13 juin au...
Les élèves de Laval à l’école du cirque Quelle surprise! Personne ne s’y attendait. Le 18 juin, quatre-vingt-dix élèves de la 4e à la 6e année de Laval...
Tout un cirque! Le « Carrousel de la vie » Qu’arrive-t-il quand une équipe d’artistes francophones et anglophones bilingues, aux parcours multidisciplinaires,...
Les francophones qui sentent leur langue menacée apprécient moins les anglophones Plus le français est perçu comme étant en santé au sein d’une communauté canadienne, plus...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22239 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer