Opinion 29 mai 2014 Et si la solution n’était pas radio-canadienne? De joueur actif du développement culturel fransaskois, la SRC-Saskatchewan est en passe de devenir un simple témoin suite à des années de coupures massives. Il y a matière à se demander s’il n’est pas déjà trop tard. Quand on a commencé à démolir, il est difficile de rebâtir.
29 mai Regina Un 5 à 7 aux saveurs et aux sonorités bretonnes Vendredi dernier, 23 mai, des effluves de crêpes françaises et des rythmes bretons étaient perceptibles au Bistro du Carrefour...
Monseigneur Bohan confirme une dizaine de jeunes à Saint-Jean-Baptiste C’était le samedi 24 mai, en début de soirée. Dans son prêche en français, l’archevêque de...
Concours d’art oratoire Coup d'oeil sur la finale provinciale du Concours d’art oratoire, organisé par Canadian Parents for French – Saskatchewan...
Florian Sauvageau sur Radio-Canada On s’attache aux médias qui sont près de nous Le professeur émérite de l’Université Laval Florian Sauvageau a coprésidé il y a 30 ans une commission...
On plante à l’extérieur, on range à l’intérieur! Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois ! Le joli mois de mai, en plus d’être le mois de la petite enfance, est aussi synonyme de renouveau, de fin de l’hiver, de grand...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4903 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer