Petite enfance 15 mai 2014 Place de la petite enfance dans notre société Dossier petite enfance - Mai 2014 Les jeunes parents qui arrivent du Québec sont toujours étonnés de découvrir ce qu’il leur en coûtera pour que leurs enfants puissent fréquenter un Centre de petite enfance (CPE) en Saskatchewan. Ils sont loin du 7 $ par jour rendu possible par le programme universel mis sur pied par le gouvernement du Québec, programme dont l'objectif...
15 mai En quelques mots L’animation culturelle dans les écoles On apprenait récemment que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) révisait plusieurs de ses programmes, dans le...
Suivi à l'assemblée publique de consultation de Radio-Canada à Edmonton Consultation de la SRC : La grande Illusion L’Assemblée publique de consultation (APC), organisée à Edmonton par la direction de Radio-Canada (SRC), a...
Dossier petite enfance - Mai 2014 L’Association des parents fransaskois et la petite enfance Pour l’Association des parents fransaskois (APF), la petite enfance (de la garderie à la prématernelle) est un dossier...
Dossier petite enfance - Mai 2014 Les groupes de jeux :Pour favoriser le développement global de l’enfant L’Association des parents fransaskois (APF) chapeaute plusieurs structures, telles que les Centres d’appui à la famille et...
Dossier petite enfance - Mai 2014 Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance Le Collège Mathieu, institution d’éducation postsecondaire en français en Saskatchewan, offre le programme...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4896 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer