21 décembre Littérature La littérature fransaskoise à la rencontre du public québécois Cette année encore, les Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) n’ont pas manqué le rendez-vous du Salon du livre de Montréal. Du 23 au 27...
Opération séduction à Paris et Rabat Fin novembre, une délégation constituée de sept personnes de la Saskatchewan a pris part à Destination Canada Forum Mobilité 2022, un événement du...
Décès de l’écrivain Christian Bobin : réactions du Québec à la Saskatchewan Dans Une bibliothèque de nuages, l’écrivain français Christian Bobin, décédé le 24 novembre, écrivait : « La mort est un...
Roger Lepage, un champion du don Entretien avec Roger Lepage. Le chef de file fransaskois revient sur son long engagement et l’avenir de la communauté.
Un Noël très traditionnel à la Maison du gouverneur Les traditions de Noël sont multiples : culturelles, religieuses, ou encore familiales. À la Maison du gouverneur de la Saskatchewan, à...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8464 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer