12 décembre Nécrologie Eveline Hamon, l'auteure de La Fransasque, est décédée La Fransaskoise Eveline Hamon est décédée le 5 décembre 2022 à Regina à l’âge de 64 ans. Résidente de Gravelbourg, elle est notamment...
Maria Lepage, l’engagement au féminin À 75 ans, Maria Lepage a plus d’une corde à son arc. Tour à tour engagée pour la Fédération provinciale des femmes fransaskoises,...
Cible presque atteinte en immigration francophone FRANCOPRESSE — Le Canada aurait presque atteint sa cible de 4,4 % en immigration francophone à l’extérieur du Québec, selon le...
Le légendaire Jazzlab Orchestra en concert à Saskatoon Fondé il y a 20 ans par le contrebassiste Alain Bédard, le groupe montréalais Jazzlab Ochestra a offert le 19 novembre un concert spectaculaire au...
Venir à bout de l’itinérance : possible, mais complexe Combien y a-t-il de sans-abri au Canada ? Difficile à dire puisqu’il n’y a aucun chiffre précis et récent. Mais selon des experts, la...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8464 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer