27 octobre Jeunesse Les jeunes soufflent leurs 50 bougies C’est avec enthousiasme et fierté que l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) a célébré son 50e anniversaire du 21 au 23 octobre. Au...
Une tournée saskatchewanaise pour Shawn Jobin Artiste montant de la scène rap francophone au Canada et à l’international, Shawn Jobin est l’une des personnalités francophones les...
Étienne Fletcher élu artiste francophone de l’année Fin septembre, Étienne Fletcher a remporté le prix de l’Artiste francophone de l’année aux Western Canadian Music Awards de 2022....
Des bibliothèques communautaires à Regina Dans le cadre de la rentrée des classes, l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR), en partenariat avec le Conseil des...
CAFS : une nouvelle direction en quête de confiance Depuis le 3 octobre, Melchior Niyonkuru a pris la barre de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS). Le nouveau...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8468 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer