22 septembre L'Apostrophe Transition énergétique : vers la décentralisation Les prochaines années resteront dans l’Histoire comme l’époque de la transition énergétique pour notre civilisation. Cette transition,...
Un projet d’envergure pour arroser les terres sèches de la Saskatchewan FRANCOPRESSE – Au Sud de Saskatoon, le lac Diefenbaker joue depuis plusieurs décennies le rôle de réservoir pour les résidents et les...
Pédaler pour la bonne cause Le 29 août dernier, le Réginois Don Durrel Bizoza a terminé ce qu’il qualifie être « son plus gros défi de...
La passion de l’enseignement, d’un continent à l’autre D’aussi loin qu’elle se souvienne, Kymber Zahar a toujours voulu enseigner. Diplômée en 2019, la francophile de Saskatoon est partie...
Une rentrée mémorable pour les Fransaskois Le Centre des sciences de la Saskatchewan a vibré de francophonie le 10 septembre en soirée avec près de 300 personnes qui ont participé à la...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8468 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer