Francophonie 1 septembre 2022 Des quotas en immigration pour contrer la baisse du français en Saskatchewan ?
1 septembre Postsecondaire Collège Mathieu : une nouvelle Charte pour une nouvelle ère Une nouvelle époque s’ouvre pour le Collège Mathieu qui vient de renouveler sa charte le 17 août. Alors que l’Église catholique ne...
Les artistes fransaskois répertoriés dans un bottin Le 6 juin, le photographe et informaticien Daniel Paquet a lancé SaskArtistes.ca, un nouveau bottin en ligne qui facilite la recherche...
Le gardiennage de maison : une vie atypique à travers le monde Bichonner, jardiner, flatter, entretenir, nettoyer ou désherber, à première vue cela ne ressemble en rien à des vacances. Et pourtant, le...
« Avec un peu de cœur, on peut déplacer des montagnes » Hugo Lambert, 24 ans, a entrepris le 19 juillet une traversée du Canada à vélo de Vancouver à Montréal. Sur près de 5 000 km, il pédale pour...
Les Fransaskois célèbrent leur héritage Depuis le début de l’été, plusieurs communautés fransaskoises ont profité de la période estivale et de la diminution des restrictions...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8486 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer