7 décembre Chronique environnement La chouette lapone, ou la quête d’un oiseau mythique Cette semaine, la chronique environnement d'Arthur Béague parle d'un mythe, une quête pour certains, et un rêve inaccessible pour...
Les symptômes post-pandémie: L’éternel maintenant La pandémie nous a tous propulsés dans un nouveau paradigme, éclatant au passage les fondations de nos vies en morceaux.
Le lexique, un reflet des modes de vie La langue évoluant avec les modes de vie, l’exode rural subi par les communautés francophones de la province au cours du 20e siècle a...
La présence ténue du Canada en Afrique est un frein à l’immigration La faisabilité pour les aspirants à l’immigration au Canada de déposer leur dossier de candidature laisse a désirer en Afrique francophone,
De Lord Byrun à Byrun Beets, une quête d’authenticité L’auteur-compositeur-interprète et artiste multidisciplinaire fransaskois Byrun Boutin-Maloney, alias Lord Byrun, se présente désormais sous...
10 septembre 2015 Martin Kakra-Kouame (EV) 24827 2015, Société, Bénévolat Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Éric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon Photos : Martin Kakra-Kouame (2015) SASKATOON - Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives pour organiser leurs activités. Le pavillon francophone du Folkfest de Saskatoon, ce sont en moyenne 5 500 à 6 000 visiteurs en trois jours. Après la Fête fransaskoise, il constitue l’évènement communautaire le plus « consommateur » de bénévoles. Lors de l’édition 2015, Eric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS), organisateur principal du pavillon, n’a pas caché que « la mobilisation des bénévoles avait été un énorme défi cette année ». Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer