11 novembre Histoire et patrimoine Le jour du Souvenir, mais le souvenir de qui ? En ce jour du souvenir, nos pensées se tournent le plus souvent vers cette « masse anonyme » de soldats qui, pourtant, possèdent tous...
Robsart : une communauté effacée par le temps Parmi les bâtisses vides situées sur la rue principale de Robsart, on trouve une quincaillerie, un garage, un centre communautaire, un hôpital et...
L’Eau vive, dépositaire de la mémoire fransaskoise Par le biais de son Centre des archives fransaskoises, la Société historique de la Saskatchewan compte numériser tous les numéros...
Hors Québec, lire en français reste un défi Dégoter des livres en français en milieu francophone minoritaire est loin d’être évident.
L’Eau vive à l’ère du numérique À travers ses cinquante ans d’existence, L’Eau vive est restée et continue d'être fidèle à la communauté...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5016 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer