6 novembre Politique La Constitution du Canada n’est toujours pas complètement bilingue Quarante ans après le rapatriement de 1982, le projet d'une constitution canadienne entièrement bilingue demeure inachevé.
Les symptômes post-pandémie: séparer le bon grain de l’ivraie Tel un « saut quantique », la pandémie nous a tous propulsés dans un nouveau paradigme, éclatant au passage les...
Cinquante ans de défis et de combats L’Eau vive a connu de nombreux moments difficiles où le naufrage a parfois semblé proche. Laurier Gareau témoigne que « le...
Des trésors de la langue fransaskoise Savez-vous donc ce que signifie cauxer, avoir du garnigouaine, ou encore haspar ?
L’Ordre des francophones d’Amérique remis à deux Fransaskoises Facilitations aux Fransaskoises Anne Leis et Françoise Sigur-Cloutier, deux nouvelles membres de l'Ordre des francophones d'Amérique.
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5025 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer