Compressions budgétaires à l’ACF

Francis Potié, directeur général de l’ACF

Francis Potié, directeur général de l’ACF

Photo : Alexandre Daubisse
À l’approche de la fin de l’année fiscale et à l’heure où on s’échine à établir des budgets équilibrés, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) a pris des mesures dans ce sens en fin de semaine dernière.

Afin de combler son déficit, le directeur général de l’ACF, Monsieur Francis Potié, a dû se résoudre à faire des coupures dans le personnel. Au total ce sont quatre postes qui seront affectés. Le poste de responsable du soutien technique, occupé par Vénérand Ndayiragije, sera supprimé à compter du 25 avril. Le contrat de Monsieur Mohammed Kane, qui occupe présentement le poste de commis comptable jusqu’au 18 avril 2014, ne sera pas renouvelé. Le poste de Caroline Fotsin, comptable adjointe, sera supprimé à la fin du mois de juin, lors de la réintégration au personnel de Chantale Larose début juillet. Enfin, Madame Marielle Gareau, responsable des ressources humaines, verra son poste réduit de 5 jours à 3 jours par semaine à partir du 1er mai 2014.

Selon Francis Potié, les raisons de ce déficit s’expliquent par une conjonction de trois facteurs. Tout d’abord, l’ACF a dû faire face à des dépenses imprévues (les détails ne nous ont pas été communiqués), ensuite, les dépenses prévues ont dépassé, de loin, les prévisions, enfin les revenus anticipés n’ont finalement pas été reçus. En somme, ce sont quelque 100 000 $ que ces coupures devraient permettre de combler.

Ces compressions ne reflètent en aucun cas le rendement des employés concernés, assure la direction générale.

Imprimer
23288 Noter cet article:
Pas de note
 

Actualité juridique (L'Eau vive)

Louis Riel pendu deux fois Louis Riel pendu deux fois

Louis Riel pendu deux fois

Le verdict est tombé comme un couperet. Les contraventions de Gilles Caron et Pierre Boutet ne rendront pas les provinces de la Saskatchewan et de l'Alberta bilingues.
Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse

Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse

La Cour suprême rejette les arguments des avocats de Caron-Boutet

Dans un jugement anticipé depuis 12 ans, la Cour suprême a rejeté les arguments des demandeurs et déclaré que « la Constitution n’oblige pas l’Alberta à édicter et publier des lois et règlements en français et en anglais. »

RSS
Première567810121314Dernière

Nouvelles de l'AJEFS


Centre Info-Justice

L'AJEFS sur Facebook