11 juin Ponteix Laurent Desrosiers, un homme heureux La dernière fois que j'ai vu Laurent Desrosiers, c'était exactement un an, jour pour jour, avant son décès. Je voulais faire découvrir...
Cachez ce mot que je ne saurais voir La Fédération des aînés fransaskois change de nom. Elle s'appelle désormais VITALITÉ 55+ Saskatchewan. On ne peut que se réjouir qu'un...
Grippe espagnole et COVID-19, quand l’histoire se répète Fermeture des lieux publics, rassemblements interdits, quarantaine, port du masque… Ces mesures ne sont pas nouvelles pour la Saskatchewan...
L'organisme se nommera désormais Vitalité 55+ Saskatchewan Fédération des aînés fransaskois: nouveau nom, nouvelle image Le terme « aîné » n’était pas si rassembleur que ça pour les membres de la Fédération des aînés fransaskois. Lors de...
Six adolescents naufragés ont survécu 15 mois sur une île déserte Le 9 mai 2020, The Guardian a publié un reportage de l'auteur néerlandais Rutger Bregman intitulé « The real Lord of the Flies:...
18 juin 2019 FAJEF 20096 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer