28 mai Voyages Le périple d’une Fransaskoise en pleine pandémie C’était une décision très difficile à prendre pour Leslie Garrido-Diaz. Meurtrie par le décès de son père en France, la jeune femme a dû...
La pie qui pleure L'étrange cérémonie funéraire d'un groupe de pie suscite des réflexions quant à la relation des animaux avec la mort.
Quiz en ligne de la FFS: À vous de jouer Avec un nombre de participants plus que satisfaisant pour un premier essai, c’est via la plateforme Zoom que la FFS a décidé de tester la...
L'école fransaskoise remporte un prix international L'École Mgr de Laval slame ses accents à Regina Six élèves de la 8e année du Pavillon secondaire des Quatre Vents de l'école de Monseigneur on remporté un des deux Prix du public offerts...
L'équilibre ne tient qu'à un fil La carpe de Prusse envahit les lacs saskatchewanais La carpe de Prusse fait désormais partie de la triste liste des espèces de poissons invasives de la Saskatchewan avec la carpe commune et la carpe...
18 juin 2019 FAJEF 20096 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer