14 mai Coup d'oeil sur le monde Cuba, l'île abandonnée au temps de la Covid-19 Cuba a une tradition bien établie d'aide médicale internationale. Des médecins cubains étaient prêts à venir chez nous, à la demande des...
Paul Suchan, un compositeur en quête d’harmonie Faire naître les notes et les mettre au diapason est le quotidien du compositeur de Saskatoon, ville qu’il a quittée pour mieux y...
Franco-club : apprendre le français tout en s’amusant Offert gratuitement par la Cité universitaire francophone de l’Université de Regina, le Franco-club a permis à une dizaine de participants...
Un trajet de cinq mois pour Marie-Ève Rousseau Du Canada au Mexique à pied : « Le plus grand défi de ma vie » Marie-Ève Rousseau, une enseignante d’une école franco-albertaine, suivra au mois de juillet le Chemin des crêtes du Pacifique, un sentier...
L'environnement au coeur d'un livre jeunesse des Éditions de la Nouvelle plume Artémis vole au secours de la planète Dans son roman pour enfant, Artémis vole au secours de la planète, la Saskatchewanaise Ingrid Alesich nous invite à comprendre pourquoi notre...
18 juin 2019 FAJEF 20108 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer