9 avril Musique La relève musicale fransaskoise mentorée par Anique Granger Les 29 février et 1er mars derniers, la chanteuse fransaskoise Anique Granger, qui sillonne le pays depuis une vingtaine d’années, est...
Un troisième disque charnière pour Toria Summerfield SASKATOON - Sans tambour ni trompette, Toria Summerfield a lancé le 13 mars son 3e album sur toutes les plateformes. La chanteuse revient sur...
Le village d’Eastend : art, dinosaure et plus encore Patientez. Le jour viendra où nous pourrons explorer notre province une nouvelle fois. En attendant, je vous invite à voyager à Eastend avec...
Un moment opportun pour le nouveau café philo en Saskatchewan En ces temps de confinement, la solitude, le doute et l’angoisse peuvent faire surface. Une boisson chaude, un endroit calme, une connexion...
Face à la pandémie, l’heure est à l’entraide Alors que le confinement s’intensifie, l’isolement qui en résulte peut s’avérer difficile pour certaines personnes comme les...
18 juin 2019 FAJEF 20117 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer