19 mars Francophonie Les Fransaskois reçus au Palais législatif REGINA - Le Palais législatif a accueilli la communauté fransaskoise pour la déclaration officielle des Rendez-vous de la Francophonie le 10 mars...
Le CÉF lance une application pour téléphone intelligent Le CÉF a dévoilé, le 12 mars 2020 une a,pplication pour téléphone intelligent qui permettra aux familles et aux élèves d'avoir accès en tout...
Festival du Voyageur: Un pèlerinage pour les Fransaskois Les Fransaskois ont toujours entretenu des liens étroits avec les Franco-Manitobains et le Festival du Voyageur est un véritable carrefour où les...
Ancien réfugié, Santos Ramos a trouvé son havre de paix à Prince Albert PRINCE ALBERT - Santos Ramos a fui le Salvador, un pays en guerre, pour le Canada où il s'est installé à Prince Albert en Saskatchewan.
COVID-19: Faites entrer l’accusé Il faudrait vivre sur une autre planète pour ne pas avoir entendu parler du Coronavirus. Tout mène à penser que l’espèce réservoir, qui...
18 juin 2019 FAJEF 20117 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer