5 mars Regina La fleur de lys flotte sur les Prairies REGINA - Durant le mois de mars, les drapeaux francophones se mettent à flotter à travers le pays afin de souligner le Mois de la francophonie.
Soirée festive avec le Winston Band à Prince Albert PRINCE ALBERT - Le groupe Winston Band a donné un spectacle festif le vendredi 28 février à l’école Valois dans le cadre du carnaval...
Rachel Broussard : une artiste louisianaise inspirée par les créatures de Saskatoon Entretien avec l'artiste Rachel Broussard de Saskatoon, originaire de Lafayette, en Louisiane. Son oeuvre explore la dynamique...
Parler de ses émotions en français est un besoin vital Parler de ses problèmes physiques à un médecin anglophone lorsqu’on est francophone peut être rebutant. Parler de ses sentiments ou de ses...
Le Collège Mathieu formera la relève journalistique dès l’automne Les inscriptions pour le programme de journalisme en français du Collège Mathieu sont finalement ouvertes.
18 juin 2019 FAJEF 20126 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer