28 mars Société Conférence à la Cité universitaire francophone La Saskatchewan, une île politique La politologue Valérie Vézina a présenté ses études sur le nationalisme en milieu insulaire à la Cité francophone de l’Université de Régina...
Shawn Jobin continue de tracer sa voix Malgré la qualité artistique de Shawn Jobin, déjà plusieurs fois saluée et récompensée, l’artiste a encore du mal à se faire entendre à...
Sébastien Durand, la tête dans les nuages Sébastien Durand va pouvoir accomplir son rêve en devenant cet été pilote de brousse au nord de la Colombie-Britannique. D’ici là, il...
Vaccin pour le COVID-19 : Deux francophones font partie des recherches à Saskatoon SASKATOON - Le VIDO-InterVac, situé à Saskatoon, a récemment reçu un financement de 23,3 millions de dollars de la part du gouvernement fédéral...
Journée fransaskoise du droit L’exercice de la démocratie, par et pour les jeunes REGINA - L’argumentation, le débat, le contre débat, l’élocution ou la simple discussion sont les exercices complexes auxquels se sont...
18 juin 2019 FAJEF 20117 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer