11 juin Multiculturalisme Le mouvement Black Lives Matter s’invite en Saskatchewan REGINA - Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées devant le Palais législatif de Regina le dimanche 7 juin pour protester contre les...
Grippe espagnole et COVID-19, quand l’histoire se répète Fermeture des lieux publics, rassemblements interdits, quarantaine, port du masque… Ces mesures ne sont pas nouvelles pour la Saskatchewan...
L'organisme se nommera désormais Vitalité 55+ Saskatchewan Fédération des aînés fransaskois: nouveau nom, nouvelle image Le terme « aîné » n’était pas si rassembleur que ça pour les membres de la Fédération des aînés fransaskois. Lors de...
Six adolescents naufragés ont survécu 15 mois sur une île déserte Le 9 mai 2020, The Guardian a publié un reportage de l'auteur néerlandais Rutger Bregman intitulé « The real Lord of the Flies:...
Vente accrues de farine : les producteurs ne font pas plus d’argent Les ventes de farine plus importantes des derniers mois n’ont pas rapporté plus aux producteurs de farine et de blé.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16512 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer