28 mai Voyages Le périple d’une Fransaskoise en pleine pandémie C’était une décision très difficile à prendre pour Leslie Garrido-Diaz. Meurtrie par le décès de son père en France, la jeune femme a dû...
La pie qui pleure L'étrange cérémonie funéraire d'un groupe de pie suscite des réflexions quant à la relation des animaux avec la mort.
Quiz en ligne de la FFS: À vous de jouer Avec un nombre de participants plus que satisfaisant pour un premier essai, c’est via la plateforme Zoom que la FFS a décidé de tester la...
L'école fransaskoise remporte un prix international L'École Mgr de Laval slame ses accents à Regina Six élèves de la 8e année du Pavillon secondaire des Quatre Vents de l'école de Monseigneur on remporté un des deux Prix du public offerts...
L'équilibre ne tient qu'à un fil La carpe de Prusse envahit les lacs saskatchewanais La carpe de Prusse fait désormais partie de la triste liste des espèces de poissons invasives de la Saskatchewan avec la carpe commune et la carpe...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16524 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer