4 avril Vitalité 55+ SK Résot'âges: L’isolement du confinement n’est pas une fatalité Pour briser l’isolement, la consultante Francine Proulx-Kenzle a proposé, le 2 avril 2020, une conférence en ligne dans le cadre de...
La compassion, le moment présent et la résilience Avec la COVID-19, tout a basculé et est bousculé. Nous sommes en deuil de notre routine et de notre stabilité.
Ce sera comment, après? À peine quelques semaines entre le "il y a un méchant virus en Chine" et la "distanciation sociale", entre les rassemblements...
COVID 19: Les familles s’adaptent au confinement Depuis le 20 mars 2020, les écoles de la Saskatchewan ont fermé leurs portes au profit de cours en ligne à partir du 6 avril. De leur côté, les...
La fransaskoisie adopte le télétravail Entre les projets qui s’annulent et ceux qui doivent continuer, les rapports de fin d’année fiscale et les réunions virtuelles,...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8735 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer