28 mars Société Conférence à la Cité universitaire francophone La Saskatchewan, une île politique La politologue Valérie Vézina a présenté ses études sur le nationalisme en milieu insulaire à la Cité francophone de l’Université de Régina...
Shawn Jobin continue de tracer sa voix Malgré la qualité artistique de Shawn Jobin, déjà plusieurs fois saluée et récompensée, l’artiste a encore du mal à se faire entendre à...
Sébastien Durand, la tête dans les nuages Sébastien Durand va pouvoir accomplir son rêve en devenant cet été pilote de brousse au nord de la Colombie-Britannique. D’ici là, il...
Vaccin pour le COVID-19 : Deux francophones font partie des recherches à Saskatoon SASKATOON - Le VIDO-InterVac, situé à Saskatoon, a récemment reçu un financement de 23,3 millions de dollars de la part du gouvernement fédéral...
Journée fransaskoise du droit L’exercice de la démocratie, par et pour les jeunes REGINA - L’argumentation, le débat, le contre débat, l’élocution ou la simple discussion sont les exercices complexes auxquels se sont...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8735 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer