Société 29 février 2020 Françoise Sigur-Cloutier, de la Saskatchewan à l’Alberta : une citoyenne toujours engagée
23 février Santé Changements climatiques et santé : à l’heure des choix L’environnement souffre, mais qu’en est-il de la santé des êtres humains ? La Cité universitaire francophone de l’Université de...
Laissez les bons temps rouler à La Nouvelle-Orléans! Le Mardi gras attire des visiteurs qui aiment festoyer, mais La Nouvelle-Orléans offre bien plus qu’une simple foire. Elle nous séduit aussi...
Enregistrement audio de La voix de mon père/My Father's Voice de Madeleine... Un livre audio par la Nouvelle plume : une première saskatchewanaise Les Éditions de la nouvelle plume sont les premiers éditeurs de la Saskatchewan, y compris parmi les anglophones, à s’attaquer au marché du...
Wexit Saskatchewan : La sécession gagne-t-elle du terrain ? Le parti séparatiste Wexit prévoit présenter une centaine de candidats dans l’Ouest lors des prochaines élections fédérales. Regard du...
Causerie avec Donald Sirois: Entre amour du français et assimilation SASKATOON - Dans le cadre du projet Résot’âges de la Cité universitaire francophone et de la Fédération des ainés fransaskois, le retraité...
17 juin 2022 AJEFS 8144 Chronique juridique Les modifications à la Loi sur le divorce (2): Le plan parental C’est quoi un plan parental ? C’est une entente entre les époux sur leur rôle parental, donc de leurs responsabilités en matière d’éducation et d’entretien vis-à-vis l’enfant. La loi prévoit désormais que le plan parental doit être établi dans l’intérêt de l’enfant. Ce plan peut prévoir des dispositions concernant le temps parental, les responsabilités décisionnelles, les contacts avec les tiers, etc. Si ces décisions ne sont pas dans l’intérêt de l’enfant, le tribunal conserve le droit de le modifier. Mais en quoi consiste concrètement l’intérêt de l’enfant? Sans le définir de façon précise, la Loi sur le divorce prévoit dorénavant des critères afin de l’établir. Ces critères comprennent les besoins de l’enfant selon son âge et son développement, sa relation avec sa famille, les historiques des soins, son point de vue et préférences, etc. Les critères établis dans la loi ne sont pas exhaustifs. Il est donc possible d’ajouter des critères selon la situation familiale et la situation particulière de l’enfant. Lors d’un divorce, il est maintenant clair dans la loi que l’intérêt de l’enfant doit primer tout au long du processus. Pour le bien-être de l’enfant, le tribunal prendra une attention particulière à la sécurité physique, psychologique et affectifs de l’enfant. Pour de plus amples renseignements au sujet du droit de la famille, visitez : saskinfojustice.ca ou contactez-nous 1 855-924-8543/ centre@saskinfojustice.ca Balises AJEFS divorce Partager Imprimer