7 février Politique Comment le vote autochtone peut faire basculer les élections Le faible taux de participation électorale des Autochtones est un enjeu important, tant au Canada qu’aux États-Unis. Pour la juriste...
Des célébrations sous le signe de l’engagement civique Lancement du Mois de l'histoire des Noirs à Saskatoon SASKATOON - Le Mois de l’histoire des Noirs se place cette année sous le signe de l’engagement civique des immigrants noirs. La...
Martine Noël-Maw: de passion et d'écriture Rencontre avec l'auteure Martine Noël-Maw qui nous parle de sa passion pour l'écriture et de sa fascination pour Will James.
L’énergie dans le vent ! Souvent vue comme la solution miracle pour sortir des sources d’énergie très polluantes, l’éolien a le vent en poupe ! Mais...
Décès du chroniqueur Réjean Paulin Le journaliste et observateur de la francophonie au Canada et dans le monde, Réjean Paulin, est décédé le dimanche 2 février. M. Paulin avait...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8764 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer