12 février Théâtre Cut/Coupé! par le Théâtre Oskana: La voix des oubliés REGINA - Du 24 au 26 janvier au Bistro du Carrefour des plaines à Regina, le metteur en scène Guy Michaud a plongé le public fransaskois dans une...
La sécurité psychologique au travail Saviez-vous que l'efficacité au travail reposait aussi sur la sécurité psychologique ?
Prince Albert, francophone et francophile Le 30 janvier, pour la première fois lors de son discours annuel, le maire de la ville de Prince Albert a placé la francophonie dans la liste de...
Omayra Issa : Une femme d’idées engagée Ancienne étudiante de l’École canadienne-française de Saskatoon et journaliste à Radio-Canada en Saskatchewan, Omayra Issa revient...
Prête à faire bouger les choses Entretien avec Elma Bos, nouvelle directrice de l’ACFR REGINA - Le 22 janvier, le conseil d’administration de l’Association canadienne-française de Regina a nommé Elma Bos à la...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8747 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer