10 janvier Communautaire Revue fransaskoise de l'année 2019 Survol de l'actualité de la communauté fransaskoise en 2019.
Les francophones de Prince Albert se sont rassemblés pour Noël Visitez la galerie de photos des activités de Noël organisées par la Société canadienne-française de Prince Albert et du spectacle Ma...
Le fléché, symbole de chez nous Une ceinture lourde d’histoire Spécialiste incontournable du fléché, Yvette Michelin l’enseigne aux adultes et donne des ateliers aux enfants. Et si c’était sa façon...
Entre la ferme familiale et les mégaexploitations Guy Bouchard possédait déjà une exploitation agricole quand il a choisi de reprendre la ferme de ses beaux-parents afin d’augmenter...
L’apport des immigrants ne peut que grandir Le phénomène de l’immigration n’est pas nouveau. Ce qui est relativement nouveau, c’est la course aux immigrants qui ont des...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8764 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer