1 février La Trinité Portrait des régions fransaskoises La région de la Trinité : un bastion de la francophonie en Saskatchewan ST-DENIS Quand on mentionne la région de la Trinité en Saskatchewan, on fait allusion à trois communautés pionnières de la francophonie de la...
Entente sur l'avenir du Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan L'ACF pourra reprendre le RIF-SK en main REGINA - L’Assemblée communautaire fransaskoise et le Conseil économique et coopération de la Saskatchewan ont annoncé aux membres du...
Surprise aux Communes : Un premier discours interprété en langue autochtone Les règles adoptées et la mécanique en place, le député Robert Falcon-Ouellette n’a pas attendu, pour faire le premier discours en langue...
Des Fransaskois partagent des conseils de voyage Afin de vous faire épargner de l’argent et d’augmenter la qualité de votre prochain petit séjour ou grande odyssée, voici des conseils...
Le théâtre Oskana annule le reste de sa saison REGINA - Le théâtre Oskana fondé en 1990 traverse une nouvelle période difficile. Son directeur artistique et dramaturge de renom, Laurier...
18 juin 2019 FAJEF 20230 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer