28 décembre Économie Prix de l’alimentation pour 2019 : la viande n’est plus à la mode Le dernier Rapport canadien sur les prix alimentaires à la consommation nous annonce une hausse, entre 1,5 % et 3,5 %, du prix du panier...
Révolution française à l’aube de la catastrophe environnementale La crise sociale historique qui frappe la France est un symptôme de l’accroissement des inégalités économique et du vertige des...
Nouveau député de Gravelbourg/Willow Bunch à l’Assemblée communautaire fransaskoise Denis Chevrier succède à Soraya Ellert à titre de député du district de Gravelbourg/Willow Bunch pour l’Assemblée communautaire fransaskoise.
Fermeture du site fransaskois.info Daniel Paquet, propriétaire du site fransaskois.info, a annoncé qu’il mettait fin à la mise à jour quotidienne de son site le 14 décembre.
Le réveil du Québec pour la francophonie canadienne Ce qui est étonnant, suite aux commentaires de Madame Denise Bombardier à l’égard des francophones du Canada et aux coupures du...
18 juin 2019 FAJEF 20224 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer