17 janvier Théâtre Défis financiers et changement de direction à La Troupe du Jour SASKATOON - Denis Rouleau, le directeur artistique de La Troupe depuis près de 30 ans, occupera un nouveau rôle au sein de l’équipe à partir...
Émilie Dessureault-Paquette : une passionnée de théâtre REGINA - Émilie Dessureault-Paquette vit pour le théâtre et a trouvé dans la troupe Théâtre Oskana une véritable communauté, une famille en...
Retour sur une année trouble dans le réseau associatif fransaskois 2018 : Une année de turbulences démocratiques L’année 2018 a certainement été marquée par plusieurs turbulences qui ont secoué les processus démocratiques au sein du réseau...
Un demi-siècle de langues officielles 2019… La Loi sur les langues officielles aura tourné 50 fois autour du Soleil quand le prochain hiver viendra givrer nos fenêtres. On...
Le gouvernement fédéral veut assurer la continuité en 2019 Ottawa débloque 1,9 million pour l'Université de l'Ontario français La ministre fédérale Mélanie Joly financera la prochaine étape du développement de l’Université de l’Ontario français afin...
18 juin 2019 FAJEF 20224 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer