7 décembre Numéro 4 Les Éditions de la nouvelle plume en pleine croissance REGINA - Les Éditions de la nouvelle plume ont obtenu récemment un financement du Conseil des arts du Canada ce qui n’avait pas été fait...
Une Fransaskoise à la présidence de la Société Santé en français Dr Anne Leis a été élue à la présidence de la Société Santé en français à l’occasion de la 16e assemblée générale annuelle le vendredi 16...
Cabaret littéraire à Saskatoon : Lancement du 4e numéro d'À ciel ouvert SASKATOON - Le 30 novembre, les amoureux de la littérature francophone se sont donnés rendez-vous à Saskatoon à l’occasion du lancement du...
Vos jeunes font-ils au moins 60 minutes d’activité physique par jour ? Les deux tiers des enfants canadiens n’atteignent pas un niveau acceptable de littératie physique. Pourtant, l’activité physique a des...
La résistance s'organise La communauté fransaskoise démontre sa solidarité avec les Franco-ontariens REGINA - Une cinquantaine de personnes ont répondu à l'appel de l'Association communautaire fransaskoise et ont marché devant le parlement...
18 juin 2019 FAJEF 20223 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer