28 octobre Musique Lancement de l’album "I am" d’Annette Campagne REGINA – L’artiste fransaskoise Annette Campagne a rassemblé le 18 octobre 2018 plus de 85 personnes dans la salle de concert de...
Réaction de Marie-France Kenny aux propos de Denise Bombardier Lettre de l'ancienne présidente de la Fédération des communautés francophones et acadiennes, à l'animateur Guy A. Lepage suite aux propos...
Les enjeux de la protection du lait Président de la Fédération des producteurs laitiers du Canada de 1994 à 1996 et de la Commission canadienne du lait de 1996 à 2006, le Manitobain...
Rendez-vous à la dernière montagne Qui dit automne, dit migration. Situé sur des couloirs migratoires, nous avons la chance, en Saskatchewan, de pouvoir assister à ce flux...
Table ronde à Regina Départ Santé : préparer le terrain pour avril 2020 REGINA - Une table ronde organiséw par le Réseau Santé en français de la Saskatchewan a abordé les impacts du programme Départ Santé /...
18 juin 2019 FAJEF 20218 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer